Ce concept n'est certainement pas de notre fait meme s'il nous est venu naturellement sans avoir eu de connaissances et autres savoirs prealables a ce sujet. Sur ce point voici ce qui existe http://www.google.fr/search?hl=fr&q=%22architecture%20virtuelle%22-2010 ; si cela ne correspond pas avec le concept present, merci de ne pas nous en vouloir, l'imagination peut parfois deborder...
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A priori ce concept pourrait etre formalise ainsi : construire des espaces (batiments...) virtuels en fonction d'au moins deux contraintes : le temps (donnee transversale) et la realite (en amont et/ou en aval de l'architecture).
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D'un point de vue ethique, il est evident que cette liberte de construction ne s'accommode qu'avec des notions juridiques telles que le respect et la tolerance.
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D'un point de vue philosophique, cet espace permanent n'a pas d'autre fonction que celle de valoriser les ressources (humaines, naturelles, patrimoniales...) dont nous beneficions afin de les optimiser ou de les maximiser grace a la promotion de l'excellence pratique et/ou theorique.
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Autrement dit, nous considerons que l'exploitation outranciere des ressources est une forme de suicide collectif et que la stratégie de détruire pour construire - qui existe dans ce monde, entre autres d'un point de vue psychosociologique - est une aberration qui ne tient pas compte d'une regle inherente a notre espece et a sa survie : en dehors du vivant et sous certaines conditions, l'homme ne devrait pouvoir detruire que ce qu'il a construit. Bref, la creation (etat) ne peut etre pensee en dehors d'une dynamique de destruction (naturelle : vieillissement (...) ou non : concurrence...) et inversement.
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A priori ce concept pourrait etre formalise ainsi : construire des espaces (batiments...) virtuels en fonction d'au moins deux contraintes : le temps (donnee transversale) et la realite (en amont et/ou en aval de l'architecture).
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D'un point de vue ethique, il est evident que cette liberte de construction ne s'accommode qu'avec des notions juridiques telles que le respect et la tolerance.
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D'un point de vue philosophique, cet espace permanent n'a pas d'autre fonction que celle de valoriser les ressources (humaines, naturelles, patrimoniales...) dont nous beneficions afin de les optimiser ou de les maximiser grace a la promotion de l'excellence pratique et/ou theorique.
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Autrement dit, nous considerons que l'exploitation outranciere des ressources est une forme de suicide collectif et que la stratégie de détruire pour construire - qui existe dans ce monde, entre autres d'un point de vue psychosociologique - est une aberration qui ne tient pas compte d'une regle inherente a notre espece et a sa survie : en dehors du vivant et sous certaines conditions, l'homme ne devrait pouvoir detruire que ce qu'il a construit. Bref, la creation (etat) ne peut etre pensee en dehors d'une dynamique de destruction (naturelle : vieillissement (...) ou non : concurrence...) et inversement.
